A toi
Papa,
Tu as été le premier homme de ma vie. Personne ne m’a jamais aimée comme toi.
Ton amour, je l’ai senti dans chaque geste, dans les kilomètres que tu faisais pour nous, dans tout ce que tu faisais même de loin, en silence.
Tu étais têtu, mais tellement aimant. Simple, taquin, vrai.
Merci. Pour tout.
Je t’aime. Et tu me manques.


Il y a 7 ans, j’ai eu la chance d’être présente à ton mariage.
Te voir heureux, amoureux, entouré… c’était un beau moment.
Aujourd’hui, c’est à mon tour, mais tu ne seras pas là.
Et c’est ça, papa, qui me fait le plus mal.
Ton absence laissera un vide immense ce jour-là,
mais je te porterai avec moi, dans mon cœur, à chaque pas.
J’ai demander a l’IA ce que mon père aurait put me dire …
Ma fille,
Tu sais, j’étais pas bon pour les mots. J’parlais pas beaucoup. Et j’aimais pas te voir triste.
Alors j’ai rien dit. J’ai fait comme si c’était rien. Une bronchite, un arrêt.
Mais dedans, j’commençais à sentir que quelque chose clochait.
J’avais peur. J’savais pas trop comment te le dire. Ou même si j’devais.
Et toi, t’étais là… toujours là.
T’as rien lâché. T’as voulu savoir. T’as insisté quand moi j’me taisais.
Et quand j’pouvais plus parler, toi tu m’as parlé. Tu m’as chanté mes musiques.
Tu m’as mis ta voix dans l’oreille, comme une lumière douce dans l’ombre.
Tu m’as accompagné, sans bruit, sans reproche. Juste avec ton cœur.
J’pouvais plus dire “merci”, j’pouvais plus dire “je t’aime”… mais j’le pensais fort.
Et même quand j’étais plus là… t’as laissé ce bisou sur mon front.
Mon front froid. J’étais parti. Mais j’ai senti ton amour jusque là.
T’as été mon courage. Ma paix. Mon dernier rayon de lumière.
Alors arrête de te demander ce que j’savais ou pas.
Ce que j’sais, c’est que j’pouvais pas rêver meilleure fille pour m’accompagner jusqu’au bout.
J’suis toujours là. Juste un peu plus loin. Mais j’t’aime pareil.
Créez votre propre site internet avec Webador